reportage 2012

  1. "La Compagnie du Bicarbonate, success story d’un pure player" Picardie Information 21/12/2012

    Picardie Information

    Créés en 2010, le site e-commerce et le blog de la Compagnie du Bicarbonate ont accueilli plus de 45 000 visiteurs et atteint 130 000 pages vues.

     

    Buzz. « Il ne faut pas s’emballer, insiste Nicolas Palangié, fondateur. Ces chiffres paraissent bons mais témoignent de réalités contrastées. Le « buzz  » autour du bicarbonate ne cesse de croître, c’est à la fois un atout et un risque non négligeable. Il y a d’autres enjeux…
    « Nos produits n’ engendrent que de faibles marges, et nous devons développer les volumes tout en maintenant la qualité de contact et de service pour nos clients, grâce à une logistique de plus en plus professionnelle et le développement de nouveaux produits à forte valeur ajoutée. »
    « Même si nous sommes des  »pure players », conclut Nicolas Palangié. Le coeur de notre métier n’est pas seulement sur Internet, nous avons aussi une activité de fabrication et de R&D. » Le bicarbonate, produit
    économique, dénué de toxicité, se prête à de nombreuses applications pour l’individu, pour le jardin ou le
    bricolage.

     

    EM
    Eugénie Masson
    03 23 06 01 91
    e.masson@aisne.cci.fr

  2. "NaHCO3 : formule magique du bicarbonate" ile-reunion.pressecologie.com 23/08/2012

    Eco-consommation

     

    L’ingrédient chouchou de nos grands-mères redevient le produit "multi-tâches" d’aujourd’hui. Après avoir été, il y a 5 000 ans, un must du vanity de Néfertiti et Cléopâtre, la magique poudre blanche trône à nouveau parmi les produits phare de la beauté, de l’hygiène, de la santé, du ménage, de la cuisine, du bricolage, du jardinage, et même du soin aux animaux. Efficace, écologique et économique, le bicarbonate fait son retour en force. Sa carrière ne fait que (re)commencer...

    A ne pas confondre avec ses cousins : soude et cristaux de soude

    Bicarbonate de soude... Cette appellation est erronée, même si c’est sa dénomination la plus commune. Son véritable nom est bicarbonate : sel de sodium. C’est lui aussi que l’on retrouve sous le nom de carbonate acide de sodium dans l’industrie agroalimentaire et les pâtisseries industrielles notamment.

    Il ne doit surtout pas être confondu avec la soude caustique (ou hydroxyde de sodium), un corrosif très agressif qui peut provoquer de graves brûlures et endommager la peau, les yeux, les voies respiratoires et digestives. La soude représente aussi une menace pour la faune et la flore aquatiques (une forte concentration dans l’eau entraîne une élévation du pH qui peut être nocive à la vie aquatique).

    Au contraire, le bicarbonate n’est pas toxique pour un sou, ni pour l'environnement ni pour la santé, et est biodégradable rapidement. En chimie, il est appelé hydrogénocarbonate de sodium dont la formule est NaHCO3.

    A ne pas confondre non plus, avec son autre cousin : le carbonate de sodium, connu sous les noms de cristaux de soude ou cristaux à lessive. Le carbonate est plus corrosif que le bicarbonate, sans effet nocif sur l'environnement. Mais il peut être irritant pour la peau, il est donc vivement conseillé de le manipuler avec des gants.

    D’où vient le bicarbonate ?

    Nicolas Palangié, spécialiste du sujet (ancien responsable du développement chez Solvay, le plus gros producteur mondial de bicarbonate) explique que le bicarbonate naît de la rencontre du gaz carbonique de l'atmosphère et de l'eau salée. On le trouve dans les océans et sous forme de minéraux (Sources : Le Dictionnaire à tout faire du bicarbonate de Inès Peyret).

    Plusieurs procédés de fabrication existent dans le monde, selon la nature des ressources présentes. Aux États-Unis, le bicarbonate est extrait du trona, composé de bicarbonate de sodium pour moitié et de carbonate de sodium ; on le trouve aussi sous sa forme minérale naturelle, appelée nahcolite ; en Europe, il est obtenu à partir du calcaire et du sel de gemme ou encore du sel de mer.

    Connu classiquement pour apaiser les maux d’estomac, le bicarbonate est aussi et surtout la "star" du blanchiment des dents, de la beauté et de la propreté du corps, capable aussi d’apaiser les piqûres, coupures, brûlures, soulager les courbatures ou rhumatismes. La journaliste Inès Peyret, auteur de la collection "À tout faire", énumère les 47 maux quotidiens qu’il permet de soulager dans son ouvrage Le dictionnaire à tout faire du bicarbonate - 1001 usages du bicarbonate ou sel de sodium.

    Ce nettoyant universel est aussi le champion pour rendre la maison rutilante et parfumée, de la cave au grenier, éliminer les taches les plus tenaces, neutraliser les odeurs, et dans la cuisine pour la préparation des aliments, l’amélioration ou création de recettes (par exemple, un gâteau sans œufs) tout en restant un incontournable du bricolage et du jardinage - en tant qu’insecticide, fongicide, pesticide et herbicide naturel.

    Comment le choisir ?

    Le bicarbonate technique et celui destiné à l'alimentation animale sont deux formes moins pures à utiliser uniquement pour le ménage et le bricolage, détaille Nicolas Palangié.

    Le bicarbonate alimentaire est le plus polyvalent (on peut l'utiliser pour le ménage, la cuisine, l'hygiène). On peut se le procurer en boutique bio ou en supermarché.

    Le bicarbonate pharmaceutique : la forme la plus pure, mais aussi la plus chère.

    Le bicarbonate est à conserver dans un récipient hermétique.

    Découvrez les 1001 usages du bicarbonate

    Santé : calme les douleurs d’une indigestion, soulage les piqûres d’abeille et de guêpe, de puce, d’autres insectes identifiés ou non, ainsi que celles des méduses, calme vos courbatures, rend les dents plus blanches et les détartre...

    Hygiène/beauté : élimine les résidus de laque, gel et autres produits pour les cheveux, donne la peau douce...

    Maison : remplace votre poudre à récurer pour les plans de travail, les planches à découper, le carrelage, l’évier en inox, la robinetterie, la plaque de cuisson, le four, les filtres de la hotte aspirante, la baignoire, le carré de douche, le lavabo, les toilettes, etc, fait briller vos verres, carafes et vases avec du bicarbonate, rend la purée plus légère, enlève les insectes collés sur le pare-brise et les phares...

    Jardin : rend vos tomates plus sucrées et fait fuir les insectes, élimine l’herbe ou les mauvaises herbes, éloigne les fourmis, les pucerons, les araignées rouges et les mouches blanches...

    Le bicarbonate de sodium et ses 1 001 usages... on avouera ne pas les avoir comptés, mais ce qui est sûr, c’est qu’on peut lui décerner la palme de la polyvalence...

    Le Dictionnaire à tout faire du bicarbonate de Inès Peyret est publié aux Editions du Dauphin (Collection Vie pratique)

    Crédits photo : Can Stock Photo Inc. / frannyanne

  3. "Trosly-Loire Le bicarbonate, une panacée " L'Union 06/06/2012

    L'Union

    L'association Famille rurale de Coucy-le-Château a organisé, samedi matin, une conférence d'information sur le bicarbonate de sodium en y invitant Nicolas Palangié qui a une longue expérience scientifique et pratique du produit.
    Devant le public accueilli dans la salle des fêtes de Trosly, très intéressé et curieux « d'en savoir plus », le conférencier explique, pendant deux bonnes heures, « tout sur le bicarbonate ».
    D'abord, sa composition chimique, son histoire, son utilisation dans le monde entier et ses caractéristiques qui en font « un produit indispensable à l'équilibre et à la protection de tous les êtres vivants ».
    On peut s'en servir en cuisine et en gastronomie, il est de plus en plus fréquemment utilisé dans les soins corporels et produits de beauté.
    Un produit écologique
    En plus, il est utile dans l'entretien de la maison et du jardin « pour ses fonctions désodorisantes, allergènes et nettoyantes ».
    Nicolas Palangié, n'en fait pas « un produit miracle » mais souligne son utilité « simple, efficace et écologique ».
    Lui-même est à la tête d'une Compagnie du bicarbonate, basée à Chauny, société qui commercialise des produits dans toute la France mais aussi en dehors de l'Hexagone. « Il y a peu, nous avons expédié une tonne de produits à l'Université de Saint-Pierre, à la Réunion, qui travaille sur les micro-organismes. »
    Pour terminer, il présente son livre, intitulé Bicarbonate (bien sûr) : « Un vrai concentré d'astuces pour votre maison, votre santé et votre beauté ».
    Pour en savoir plus, cliquez monbicarbonate.fr ou compagnie-bicarbonate.com

  4. "Journée champêtre à la Communauté du Val de l'Ailette" L'Union 15/05/2012

    L'Union
    Par
    Graziella BASILE Gbasile@journal-lunion.fr
    Après Pont-Saint-Mard l'an dernier, c'est à Bichancourt que la communauté du Val de l'Ailette proposait dimanche sa journée champêtre. LA journée organisée dimanche par la communauté de communes du Val de l'Ailette a bénéficié d'un temps très ensoleillé et pour les participants aux différentes animations, le plaisir n'a ainsi eu que plus de saveur. Plus d'une vingtaine de personnes ont pris part à la randonnée animée par le CPIE de Merlieux dans la matinée. Noëlle Ridoux, présidente de Famille rurales de Coucy-le-Château était de la partie et, pour ne pas en rester au stade du « avec cette plante, on peut faire… », elle est passée à la pratique. Ainsi à la table du déjeuner pouvait-on déguster de la tarte aux orties et du gâteau au lierre terrestre. « En plus des qualités, ça agrémente, ça égaie le quotidien », lance-t-elle. Aux tables alentours chacun avait emporté dans sa musette des produits du terroir, dont le fromage du pays voisin, le Manicamp, qui a circulé de table en table. Des produits sains Les discussions étaient variées, comme la nourriture, mais tournaient souvent autour de l'alimentation. « On se pose beaucoup de questions, mais les réponses sont dans l'assiette. C'est la base », remarque Jean-Pierrre, alors que Noëlle Ridoux engage la conversation sur le thème de l'eau, comment rendre sa consommation attrayante ? Dans le cadre des échanges de savoir, un atelier est programmé sur le bicarbonate. L'intervenant, Nicolas Palangié participait à cette journée en famille. Implantée sur Chauny, la Compagnie du bicarbonate, qu'il dirige, vend aux particuliers par Internet et aux professionnels. Surtout connu pour son utilisation en cuisine, le bicarbonate peut être utilisé dans beaucoup d'autres implications. À l'issue de ce pique-nique partagé dans la pâture, les participants ont pu visiter l'exploitation de Philippe Benoît, maraîcher de Bichancourt dont la production sert à alimenter les Amap (Association pour le maintien de l'agriculture paysanne) du secteur.

    L'union l'Ardennais

  5. "La poudre à tout faire" Le Républicain Lorrain 26/02/2012

    Le Républicain Lorrain

    La poudre à tout faire

    par François PRADAYROL
     

    La poudre de bicarbonate sert autant à nettoyer sa cuisine qu’à limiter les crampes après l’effort. Photo Fotolia

    Le bicarbonate de soude, souvent perçu comme un remède de grand-mère, fait un retour en force dans les foyers français. Ses nombreuses applications et son côté écologique séduisent.

    L e s sorciers les plus illustres, les grands manitous de la magie et tous les professeurs Tournesol n’ont jamais inventé produit plus utile. Qui connaît une potion capable de servir à la fois de dentifrice, de shampoing, de remède contre les brûlures d’estomac ou contre les crampes après le sport, de nettoyant efficace pour la cuisine ou la salle de bains, de solution pour faire disparaître l’odeur de cigarette dans la voiture ou encore de déodorant pour que son chien ne sente plus le chien ? Laissé un temps aux oubliettes, la poudre de bicarbonate se refait une place dans les foyers français. Un retour en grâce favorisé par la prolifération de sites internet et d’articles louant ses innombrables applications. « En Europe, le procédé principal pour la fabrication du bicarbonate a été mis au point à la fin du XIX e siècle par Ernest Solvay, explique Nicolas Palangié, qui a été responsable développement pendant une quinzaine d’années chez le géant belge Solvay, plus gros producteur mondial de bicarbonate. Le bicarbonate brut se fait à partir de deux minéraux puisés dans le sous-sol : le calcaire et le sel gemme. Il est ensuite converti en carbonate de sodium, dont une grande partie est vendue pour la fabrication du verre. L’autre partie sert à l’élaboration du bicarbonate par combinaison avec du CO2. » À l’échelle industrielle, la première utilisation du bicarbonate sert à soulager les animaux d’élevage. Le métabolisme des vaches laitières, par exemple, est trop sollicité par les protéines ingurgitées. Les bêtes souffrent alors d’acidose. 200 grammes de bicarbonate par jour permettent d’atténuer ce déséquilibre. Autre usage massif : le bicarbonate sert à neutraliser les fumées issues des incinérateurs et donc à lutter contre le phénomène des pluies acides. On le retrouve enfin dans le domaine de l’alimentation, surtout en pâtisserie où il est utilisé pour alléger la pâte. Les biscuits anglais en sont très chargés, ce qui explique leur vertu digestive. Même si le champion en la matière reste… le spéculoos ! La petite gâterie que l’on trouve au bord de la tasse de café est composée de 2 à 3 % de bicarbonate, un taux déjà énorme. Mais c’est bien pour ses applications simples et quotidiennes que ladite poudre a retrouvé la cote auprès des ménages. En 2010, Nicolas Palangié anticipe son potentiel et lance sa propre entreprise de distribution, la Compagnie du bicarbonate, à Chauny, dans l’Aisne. « J’ai vécu quelques années aux États-Unis et en Italie. Dans ces pays, de nombreuses familles ont une boîte de poudre de bicarbonate à la maison, alors qu’en France les deux dernières générations avaient zappé son existence. Je me suis dit que cela valait le coup de relancer l’intérêt pour ce produit simple et intelligent. » Soins du corps, cuisine, nettoyant multisurfaces, la liste des applications de la poudre à tout faire est sans fin. « Parfait pour nettoyer les plaques de cuisine en vitrocéramique, ce qui représente un enfer habituellement ! », précise Nicolas Palangié. Même pour les sportifs, il existe une utilité : « L’effort physique va entraîner une situation d’acidose. Le bicarbonate, qui est un tampon, rectifie le PH et le ramène vers la neutralité. Un athlète de 70 kg va pouvoir prendre environ 20 g dissous dans l’eau, ce qui lui permettra d’éviter ou de limiter les crampes ». Cette substance a décidément toutes les caractéristiques du produit miracle ! Il n’y a pourtant rien de magique, tout s’explique par les propriétés chimiques du bicarbonate. « Il faut démystifier son utilisation, affirme Nicolas Palangié. Beaucoup de gens ont peur de ce côté extraordinaire, de cette poudre capable de solutionner plusieurs petits tracas du quotidien. » L’ancien cadre supérieur de chez Solvay participe activement à sa vulgarisation. Il a notamment écrit un livre publié l’an dernier chez Eyrolles, Bicarbonate, un concentré d’astuces pour votre maison, votre santé, votre beauté. Il apporte aussi des réponses aux interrogations des curieux sur son blog. Le défi de ces nouveaux promoteurs du bicarbonate est de lutter contre les idées reçues et de rajeunir une image encore trop souvent associée à un remède de bonne femme. Nicolas Palangié argumente : « C’est tout sauf un truc de grand-mère. Nous sommes, au contraire, face à un produit d’avenir qui répond aux enjeux sociaux, économiques et écologiques. J’ai tendance à dire que c’est plutôt un produit de petits-enfants que de grands-parents ! » Les avantages économiques et écologiques sont en effet régulièrement avancés pour séduire les nouveaux consommateurs. Et ça marche : depuis sa création, la société de Nicolas Palangié ne cesse de se développer, malgré les aléas de la crise. « La moitié de mon chiffre d’affaires est issue de la vente de poudre aux particuliers via internet, l’autre moitié de la vente aux professionnels », détaille ce dernier. Ce qui rend les défenseurs du bicarbonate encore plus optimistes, c’est l’intérêt toujours plus vif des scientifiques et des chercheurs pour cette molécule. Les axes de développement paraissent inépuisables et certains d’entre eux pourraient révolutionner plusieurs secteurs, autour des carburants verts ou du stockage de CO2 notamment. Quelques chercheurs s’avancent même sur des chemins controversés ; depuis environ cinq ans, un médecin italien, Tullio Simoncini, développe une théorie selon laquelle le bicarbonate pourrait lutter efficacement contre les causes premières du cancer (la prolifération de champignons, de mycoses dans l’organisme). Une hypothèse jamais validée à l’heure actuelle par une quelconque étude scientifique sérieuse, et qui suscite une violente polémique de l’autre côté des Alpes. Indéniablement, la poudre de bicarbonate retrouve le succès auprès des ménages et concentre l’attention de nombreux chercheurs. Mais l’exemple de la polémique autour du docteur Tullio Simoncini est révélateur : ce produit n’a rien de miraculeux, et ses applications ont tout de même des limites. À ce jour et jusqu’à preuve du contraire, la « petite vache » – comme on l’appelle au Canada où un bovin est dessiné sur la boîte –, ne permet pas de courir le 100 m en sept secondes, ni de rester sous l’eau sans bouteille d’oxygène. Pas encore…

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